L’auteur de l’horreur, Stephen King, a révélé un secret terrifiant lors d’une récente interview avec Rolling Stone ! Non seulement il nous fait frissonner avec ses romans, mais il nous donne également des cauchemars avec ses goûts musicaux. Et devinez quoi ? Il est totalement accro à Mambo No. 5 de Lou Bega, le tube infernal qui a ensorcelé le monde en 1999.
Cette obsession diabolique
Tabitha King, l’épouse du célèbre auteur, a été contrainte de menacer son mari de le quitter s’il ne mettait pas fin à cette passion dévorante pour la chanson. Stephen King a même avoué qu’il possédait diverses versions de cette folie musicale : « Je passe beaucoup [cette chanson]. J’ai même le remix dance », a-t-il confessé. « J’aime ce genre de versions étendues et je passe même la face B. Sur l’une d’elles, il y a une version entièrement instrumentale. Et je la passais jusqu’à ce que ma femme finisse par dire, « Une fois de plus et je te quitte ». »
Un cauchemar contagieux
Qui aurait cru que le maître de l’horreur pouvait être aussi pervers dans sa vie quotidienne ? En imposant une version dance instrumentale en boucle à sa pauvre épouse, Stephen King semble tout droit sortir d’un de ses romans dérangeants et terrifiants. Mais il faut rappeler que Mambo No. 5 était un véritable fléau mondial en 1999, atteignant les sommets des classements dans de nombreux pays, dont la France. Une reprise démoniaque d’un classique cubain du même nom, composé par Dámaso Pérez Prado en 1949.
Le retour impossible ?
Cependant, ceux qui espèrent une nouvelle hantise auditive ne seront peut-être pas rassurés. Si l’histoire se répète, Mambo No. 5 ne refera probablement pas surface avant 2049 ! Un soulagement pour certains, mais aussi une occasion manquée pour Stephen King de partager sa perversion musicale avec le monde.
Cette révélation choquante de Stephen King fait certainement frémir tous les fans de son univers terrifiant. Qui aurait cru qu’un auteur aussi sombre puisse avoir une passion si démoniaque pour une chanson aussi entraînante ? Mais bon, après tout, le maître de l’horreur n’a-t-il pas toujours aimé nous torturer avec ses récits macabres ?