Naomi Watts, l’actrice de 54 ans, brise le silence sur la ménopause précoce et lance un appel à une conversation ouverte et sans tabou sur ce sujet encore trop peu abordé. Dans une interview accordée au magazine Hello !, elle raconte son expérience personnelle et exprime sa conviction que si la ménopause n’était pas entourée d’un tel tabou, sa transition aurait été moins difficile. Déterminée à combattre cette stigmatisation, elle participe activement à des actions de sensibilisation et soutient l’association Menopause Mandate.
Ménopause précoce : un sujet encore tabou
Naomi Watts fait partie de ces femmes qui ont dû faire face à la ménopause précoce dès l’âge de 36 ans. Un bouleversement hormonal difficile à gérer pour elle comme pour beaucoup d’autres femmes concernées. « Sautes d’humeur, sueurs nocturnes et migraines… J’étais dans un cycle qui avait désespérément besoin d’être brisé », confie-t-elle. Pourtant, Naomi Watts estime que si elle avait été mieux informée dès le début de ses symptômes, cette étape de sa vie aurait été plus facile à traverser.
Une prise de parole courageuse
L’actrice ne se contente pas de raconter son histoire personnelle. Elle souhaite également aider les femmes en participant activement aux actions de sensibilisation autour du sujet de la périménopause et de la ménopause. Naomi Watts soutient notamment Menopause Mandate, une association à but non lucratif qui vise à fournir des ressources et des informations aux femmes de tous âges confrontées à ces troubles hormonaux. « Il y avait un manque de conversation ouverte et de ressources pour aider les femmes à faire face aux changements que nous traversons. C’est pourquoi je suis maintenant si passionnée par la sensibilisation et l’encouragement à des conversations plus honnêtes », déclare-t-elle avec conviction.
L’importance de briser le tabou
Naomi Watts est déterminée à changer les mentalités et à briser le tabou qui entoure la ménopause. Elle est convaincue que parler ouvertement de cette étape naturelle de la vie permettra aux femmes d’être mieux informées et soutenues dans leur démarche. « Si la ménopause n’avait pas été un sujet aussi tabou lorsque j’ai commencé à ressentir des symptômes, j’aurais eu une transition plus facile », souligne-t-elle avec force.
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