Incarcérée alors qu’elle est enceinte de huit mois, Poupette Kenza bénéficie actuellement d’un aménagement particulier. Nous vous révélons les détails !
Une affaire complexe pour Poupette Kenza
La situation de Poupette Kenza est pour le moins incroyable. Impliquée dans une affaire d’extorsion, elle est détenue à la maison d’arrêt de Rouen depuis juillet dernier. Alors que son mari, Allan Lierhmann, s’occupait de leurs enfants en toute liberté, la situation a pris un tournant inattendu avec l’inculpation de ce dernier. Pour sa part, Poupette Kenza, n’a pas hésité à apporter un témoignage qui pourrait nuire à son époux.
Des parents séparés par les barreaux
Maintenant que ce jeune couple se retrouve derrière les barreaux, ils suivent la croissance de leurs enfants à distance. Mais une autre inquiétude plane : la grossesse avancée de l’influenceuse. Enceinte de huit mois, elle pourrait accoucher en prison. Malgré cette situation difficile, elle bénéficierait de conditions de détention privilégiées. Nous vous expliquons en détail.
Une grossesse en milieu carcéral
La nature des accusations portées contre Poupette Kenza est sérieuse : tentative d’extorsion en bande organisée, association de malfaiteurs et travail dissimulé. Déjà reconnue coupable d’une des infractions, cette jeune mère de 24 ans purge sa peine depuis plusieurs mois. Actuellement enceinte de son troisième enfant, elle souhaite ardemment être libérée, même sous surveillance électronique, pour donner naissance à son bébé.
“Je ne veux pas accoucher dans cet environnement !”, a-t-elle exprimé dans une déclaration récente. Les conditions de vie en détention sont déjà éprouvantes, mais la grossesse ajoute une couche de complexité. Heureusement, la législation prévoit des aménagements spécifiques pour les femmes enceintes incarcérées. De ce fait, Poupette Kenza n’est pas placée en cellule avec les autres détenus ordinaires, mais se trouve dans une unité spéciale, souvent appelée « nursery ».
Des privilèges en détention
Cette unité a été conçue pour accueillir les détenues enceintes ou les mères avec leurs bébés. Elle permet une mobilité accrue entre différentes cellules. “Ce sont les cellules les plus propres de la prison”, a déclaré Johan Prost, représentant du Syndicat des surveillants pénitentiaires. Cela lui permet également de se déplacer et de discuter avec d’autres détenues, bien que Poupette soit actuellement seule.
Selon les informations rapportées par le Parisien, Poupette Kenza bénéficie d’installations personnelles comprenant une douche, des toilettes et une kitchenette. “Elle n’a pas de traitement de faveur à cause de sa notoriété. Elle est une détenue comme les autres”, a précisé Johan Prost. En outre, elle a droit à une heure de promenade quotidienne, bien qu’elle ne semble pas en profiter. “Je ressens de la peur. On crie mon nom dans la cour”, a-t-elle confié, révélant ainsi la pression qu’elle ressent dans ce cadre difficile.