Poupette Kenza, au cœur d’un scandale d’extorsion, révèle enfin la vérité ! Tous les détails de l’affaire.
Au début du mois de juillet 2024, Poupette Kenza se rend en France pour célébrer le mariage d’une amie. À peine arrivée, la célèbre influenceuse est interpellée par la police. Cette arrestation inattendue marque le début d’une période tumultueuse pour Kenza, qui est désormais accusée d’association de malfaiteurs et de tentative d’extorsion de fonds. Elle est rapidement placée en détention au centre pénitentiaire de Rouen.
Après plusieurs mois derrière les barreaux, la jeune femme retrouve la liberté le 31 octobre dernier, sous contrôle judiciaire. Depuis sa libération, Poupette Kenza s’est faite très discrète sur les réseaux sociaux, une absence remarquée qui a suscité des interrogations. Son avocat, Maître Jérémy Kalfon, a récemment commenté cette situation lors d’une interview avec Sam Zirah. Cependant, Poupette a décidé de faire des révélations surprenantes.
Poupette Kenza se confie : une vérité éclatante
Tout au long de cette affaire complexe, Poupette Kenza a nié sa culpabilité avec fermeté. Elle avait même blâmé son mari, Allan, pour éviter d’admettre sa part de responsabilité. Cependant, lors d’un nouvel interrogatoire le 18 octobre, elle a finalement avoué : « C’est moi qui ai écrit ces messages, et non Allan. » Cette admission a choqué beaucoup de ses admirateurs.
Elle a justifié cette première déclaration mensongère comme étant le fruit d’un accord mutuel avec son compagnon. Selon ses dires, Allan lui aurait demandé de le couvrir en cas de difficultés, par sacrifice. Il est essentiel de noter qu’à l’époque de son arrestation, Poupette était enceinte de six mois, ajoutant une couche de complexité à cette affaire.
Un réseau d’extorsion exposé
Durant l’enquête, un total de 141 messages compromettants a été découvert sur le téléphone d’Eric Love, un acolyte de Poupette. Bien qu’elle reconnaisse avoir envoyé ces messages, la jeune mère défend l’idée qu’elle n’avait pas ordonné l’usage de la violence. Elle a expliqué que le but de cette opération était de simplement « mettre un coup de pression », sans aucune forme d’agression. « J’ai toujours dit qu’il ne fallait pas recourir à la violence. » aurait-elle ajouté devant la juge.
Les déboires juridiques de Poupette Kenza
Les preuves accumulées par les enquêteurs semblent accuser Poupette davantage qu’elle ne l’accepte. Son avocat reste cependant catégorique : « Madame Benchrif n’a jamais dirigé ni approuvé l’opération telle qu’elle a été exécutée. » Bien qu’elle ait accepté de collaborer, son avocat affirme qu’il n’a jamais été question de commettre des actes illégaux. Selon lui, l’isolement personnel de Poupette au moment des faits a probablement affecté son jugement. « Il répétait constamment : Il faut les hanter. »
Cette affaire, qui a captivé l’attention du public, est encore loin d’être résolue. Les prochains développements seront cruciaux pour Poupette Kenza, qui doit naviguer à travers cette tempête médiatique tout en préservant sa santé mentale et celle de sa famille.